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Vivre le Katsugen Undo. Lâcher-prise!
10 avril 2015

Éloge de l'immense philanthrope Bruno Garnero! (BAS LES MASQUES!)

 Voici, en guise d'introduction, quelques morceaux choisis de la prose de mon cher et tendre Bruno GARNERO (mythomane qui s'affabule "instructeur de Mouvement régénérateur inné) qui ont plus particulièrement inspiré le vilain courroux qui traverse ma propre prose.

"...tant que vous laisserez en ligne votre propagande particulièrement pernicieuse, je veillerai à ce que tous vos écrits soient dûment enregistrés afin que le moment venu, l'éléphant que je suis, puisse authentifier votre imposture et obtenir une réparation très significative d'un tel préjudice devenu récurrent sur le Net." Bruno Garnero, poète philanthrope et pacifiste qui trompe énormément

"Sans agressivité, sans prétention - aucune non plus, je vais simplement faire surveiller YouTube et les réseaux sociaux pour savoir si ces vidéos ont disparu ou s'il me faut prévenir la famille de Me Noguchi au Japon sans tarder et bien entendu confirmer le contenu de ces vidéos, auprès des Maisons d'Editions françaises et japonaise dont la réputation peuvent être mises en doutes par vos propos. 
J'espère simplement que la "sagesse va l'emporter "avant que la machine infernale ne soit lancée. " Bruno Garnero, philosophe non-violent et non-prétentieux

"Au cas où vous ne preniez pas vraiment au sérieux ce que je vous écris, ce qui est pour le moment le cas, vous ne seriez que la 3ème personne, en 40 années de Transmission, dont le comportement serait jugé pour atteinte grave à la réputation d'Autrui : Mais vous avez une famille et je ne souhaite pas les plonger, par répercussion, dans une tourmente financière. 
Nous vivons une étrange époque où la Justice ne sanctionne plus les vols à la tire ou le trafic de stupéfiants mais, aussi paradoxal que cela puisse paraître, les jugements en "diffamation" restent eux très sévères financièrement et il y a même une légère tendance à frapper tellement dur, que les hébergeurs comme YouTube, Dailymotion et autres commencent même à se retourner, in fine, sur les pauvres usagers d'Internet qui les font travailler, pour ne pas endosser le poids des recours..." Bruno Garnero, humoriste non-belge

"L'horloger est minutieux, patient, et va toujours jusqu'au bout, sans perdre un seul ressort, pour que le Temps fasse son oeuvre et ce qui est merveilleux en cette existence, c'est ce moment de vérité où "celui qui croyait prendre" se voit contraint de passer à la caisse, en dépit de ses certitudes..." Bruno Garnero, égal à lui-même...

Réaction:

   Cher Môssieur Garnero, "Instructeur de Mouvement-Régénérateur inné", stricto sensu, c'est-y français ou c'est-y pas français? Instruire les autres, c'est-à-dire en l'occurrence leur apprendre ce qu'ils ont d'inné en eux, c'est une idée très très originale n'est-il pas? Apprendre l'inné, enseigner le naturel, transmettre le spontané, le biologique, le physiologique, l'instinctif... Bravo Môssieur! Car vous vous vantez de réaliser l'impossible! C'est une gageure! Veuillez agréer toutes mes felicitations et mon respect le plus total. Sans rire, ni ironie aucune. Bien sûr. Qu'on me coupe les ongles si je mens.

Comme je suis selon vos propre termes un "donneur de leçon" paraît-il, soit, qu'il en soit ainsi! Permettez-moi d'épanchez ici mes sentiments les plus amoureux à votre égard. Sans retenue. Et en prose qui plus est...

Qui sème sans rire la confusion récolte le bouffon! Allons-y! :

   Sous couvert d'une exemplarité sans faille (c’est leur déguisement favori, le costume grotesque qu'ils utilisent pour se cacher à eux-mêmes et se présenter à vous) quelques ostrogoths à la dent longue et dure n’ont eu de cesse ces derniers temps de m'exhorter à rentrer dans le droit chemin, le leur. Sous peine d'entamer à mon encontre -” sans agressivité aucune” (sic)-  des procédures qui pourraient avoir comme malencontreuses  -“c'est la Vie qui décidera” (sic)-  et fâcheuses conséquences non seulement de “nettoyer” le web de  mes ignominieuses vidéos et autres poèmes,  mais aussi et surtout de possiblement "plonger (ma) famille dans la tourmente financière". Rien que ça...

  Je dois avouer que ces menaces perfides réitérées proférées à l'encontre de l'intégrité de mes proches par un benoît personnage ne me laisse pas de marbre. Elle touche en effet une zone sensible en moi qui à ce contact éveille mes plus bas instincts. Je le déplore.

   Je le déplore, croyez-moi : étant donné que dans l'absolu nous ne sommes rien que poussière, finalement il n'y a rien à perdre, ni personne à défendre d'un gentil et exemplaire monsieur poussiéreux qui fait rien qu'à embêter les vivants (qui sont poussière mais que ça se voit pas au premier coup d'œil)  au nom d'un soi-disant respect des morts (qui sont poussière et que ça se voit, eux).

   Pourquoi en effet l'idée que ma femme adorée et mes enfants chéris puissent manquer de tout du fait que les anciennes pitreries de leur papa dérangent un authentique tas de poussière humanoïde dérangé lui-même de la cafetière me reste en travers de la gorge et du ciboulot ? Oui, pourquoi ces images délicates de ruine familiale si gentiment suggérées par un être si charmant et si exclusivement animé d'une philanthropie galopante (n’est-ce pas l’amour compulsif de son prochain qui fait naître les vocations dans l’armée ?) font sourdre en moi le plus sourd courroux? Je ne m’explique pas ce déballage soudain dans ces lignes guerrières de mon amour infini et inconditionnel pour Môssieur Garnero et ce qu’il représente. Je ne me l'explique pas; et de cela, je ne suis pas fier. Je le déplore, donc. Mea culpa est pleine.

   Toutefois, comme c'est plus fort que moi, j'en suis réduit à dire: z’avaient  pas qu'à appuyer sur mon point faible les gentlemen!

   Quant à la possibilité de se dégonfler et de se coucher devant des méthodes aussi viles perpétrées sous des dehors de “bienveillance”(sic) affichée, non merci, très peu pour moi. J'ai beau être un incorrigible branleur, j'ai tout de même quelques principes et un certain sens du savoir-vivre. Par exemple, je tiens mordicus à la transparence.  Primo, être le plus clair possible avec soi-même pour être le plus clair possible avec autrui. Deuzio, avoir la même exigence à l'égard de soi qu'avec les autres. Cela me semble être  les deux piliers de la plus élémentaire politesse. C'est pourquoi, quand on se comporte comme un salaud, prière de s'afficher en tant que tel … C'est pour cette raison également que je préfère exposer ostensiblement la vilenie mutuelle qui fut la nôtre dans nos échanges burlesques et tragiques (disponible ici: http://katsugenundo.canalblog.com/archives/2018/03/02/36189015.html), et laisser le lecteur et le Seigneur qui broute aux cieux seuls juges.

   Permettez-moi de m'abaisser ici à leur rendre la monnaie de leur pièce grâce à cette vidéo caricaturale.

  “ Par pure bienveillance, et en toute neutralité bien sûr,”  invitons-les à corriger vite fait bien fait une des multiples erreurs de français (la liste est longue...) qu'ils diffusent avec largesse à qui veut bien les écouter.  Incorrections qu'ils diffusent éhontément au risque non seulement de passer pour de piètres penseurs ( pas grand-chose en somme) mais aussi et surtout pour des personnes vivant manifestement dans la plus extraordinaire et exemplaire confusion ( ce qui est plus gênant, voire confondant, pour des personnages qui aiment à se glorifier d'être des modèles et qui -pris dans cette illusion- épuisent leur temps, leur "liberté foncière" et leur "vie pleine" à faire le plus sérieusement du monde la morale à tout bout de champ, sur n'importe quel sujet, à n'importe qui - même à votre serviteur qui est pourtant reconnu d'incorrigibilité publique depuis belle lurette..:).

      Espérons que l'exposition publique de leur duplicité (donc ils ne semblent même pas subodorer l'existence en eux-mêmes les pauvres bougres…), ainsi que celle des souillures répétées à l'envi à l’égard de la langue française qui sont autant de supercheries vis-à-vis de l'entendement des plus crédules (ce qu'ils ne peuvent plus faire mine d'ignorer), n’égratignera pas trop leur image de marque chérie. S'il n'est déjà trop tard... Espérons encore qu'ils ne vont pas soutenir la gageure plus longtemps (comme ils le font depuis des décennies) de faire leur propre publicité ainsi que celle de leurs mode d’organisation obsolète autour d'une  illusoire et aberrante “pratique” de l'inné. Cette dernière justifiée elle-même par un discours reposant sur un échafaudage conceptuel aussi creux que caduque. Autrement dit, espérons qu'ils rentreront vivement dans le « droit chemin » (celui que seul Dieu connaît!  pas moi en tout cas :)

   Enfin je dis « espérons, espérons »... soyons plutôt fatalistes et sages à leur image. Emboîtons-leur le pas quand ils disent: “ c'est la Vie qui décidera”...

   Bien sûr, je dis tout cela avec le sourire aux lèvres, car en ce qui concerne leurs chances de changement d'attitude, de facilité et d'habitude, je ne me fais guère d'illusion. Gaillard, je sais que j'urine gaiement dans un Stradivarius!

   Ceci dit, je vous en conjure les morbaques, lâchez-moi les glaouis et je vous foutrais une paix royale! Retournant avec délice dans la ouate du coma virtuel dont vous m'avez tiré. Et si c'est déjà votre intention - car je vois bien que vos commentaires se sont tus-  je vous en remercie, vraiment.  Ainsi, grâce à votre silence, vous allez vivre délivrés de la terrible “machine infernale” que je représente. Moi, l’ignoble dévoyeur de vos “mots-clés” chéris, moi, qui fourvoie insolemment les jeunes esprits égarés dont vous vous faites les ardents défenseurs, non seulement en essayant de les soustraire à mon influence démoniaque mais aussi en vous proposant benoîtement de les guider vers les ornières creusées par vos maîtres déifiés. Celles-là même,  ces ornières, qui font office de tombeaux à l'expression de vos singularités…

   Soit! Chérissez-bien vos ouailles béni-oui-oui, vos mots-clés sacrés et votre béate image publique. De mon côté je vais continuer à m'occuper des miens comme de moi-même. Sans m'occuper de vous.

   Enfin, comme je ne souhaite pas qu'on se quitte avec l'impression d'être en mauvais termes, je réitère ici par écrit cette réelle et sincère main tendue que j'exprime dans cette vidéo: si jamais le miracle d'une quelconque remise en cause se produit contre toute attente en votre sein, je reste à votre entière disposition en tant que "consultant en relooking de noguchistes défroqués"!

  Et tiens, comme j'ai l'immense honneur d'être "instructeur" aujourd'hui, "sans prétention aucune" et "en toute modestie" comme on dit quand on est instructeur, je vais me citer,: (extrait d'ici: http://katsugenundo.canalblog.com/archives2015/04/13/31885149.html)

"(...) Si les noguchistes étaient clairs dans leur langage ainsi que sur la nature (et les limites) de leurs pratiques et de leur rôle je serais le premier à recommander leur concours à toute personne qui se bloque quand il s’agit de lâcher-prise (de laisser fluer le katsugen undo). Vraiment. Mais comme manifestement ce n’est pas le cas, et que même ils se braquent quand je leur tends un miroir pour qu’ils contemplent leurs déformations (je ne dis pas que je ne suis pas déformé moi-même –juste un peu moins pire sur certains points mais pas recommandable pour autant :), je les déconseille vivement. (A vrai dire je me contente de ne plus les conseiller alors que je le faisais auparavant, juste je ne parle plus d'eux...)

    On ne peut pas faire confiance à des gens qui clament ouvertement sans rougir que « Haruchika Noguchi a introduit le katsugen undo » ici et là... Cela revient quand même à dire que celui qui a inventé le mot « soleil » aurait « introduit le soleil » dans l’univers… (...)"     

   Merci à tous les acteurs (moi inclus) de cette farce d'avoir étalé au grand jour avec impudeur votre ignoble et resplendissante confusion. Votre confusion fait écho et se joint à la mienne (et vice versailles, non?) ; en vous reconnaissant en moi,  je vous “aime”.

   Confusion bien étalée commence par la sienne!

  Le moins que l'on puisse dire, c'est que question confusion, on s'est sacrément “étalés”. A la seule différence que moi je l'ai fait sciemment et à dessein, tandis que vous, vous semblez l'avoir fait sans le savoir ni même vous en rendre compte avant que je vous le fasse remarquer... Autrement dit, alors que je me contentais de me laisser choir, vous vous êtes lamentablement cassés la gueule. Désormais nous reposons ensemble, étalés de tout notre long, côte à côte...

   Ceci dit, sachez que je n'en tire aucune gloire personnelle; car au final c'est encore et toujours de la confusion à profusion qui est révélée et étalée au grand jour. Pas de quoi se  réjouir. Car si l'un ou l'autre de nous a encore aujourd'hui, malgré tout, l'illusion de se tenir debout, ce ne peut-être qu'un trompe-l’œil. Soyons en certains. Tout est vain qui finit vain.

   Je dois concéder tout de même au passage un plaisir certain: celui de  vous avoir entraîné dans ma chute. Ce qui vous a conduit à révéler votre vrai visage. (Une vraie passe d'Aïkido en somme, Tsuda lui-même - votre vénéré-  aurait été fier de moi!). Au moment où les masques tombent, il y a toujours une sorte de jouissance, comme un sentiment de soulagement lié à cette partielle libération, non?  Bas les masques!

  Et pour rebondir sur cette histoire d’Aïkido, si j'ai bien tout compris, il n'y a de “combat” qu'en apparence. En effet un combat présuppose une quelconque dualité. C'est-à-dire une séparation entre deux forces non-identiques qui s'opposent. Alors que, au fond(Aïkido qui dit), nous sommes tous ki! Ki nous sommes. Nous sommes Un.  Et dualité n'est qu'apparence trompeuse…

    Subséquemment, à la fin d'une illusoire “bataille” comme la nôtre (qu’on ne perçoit comme bataille que tant qu'on se trompe),  il n'y a jamais ni vainqueur ni vaincu, mais seulement des vains cœurs et des vains culs, c'est-à-dire uniquement le ki qui circule - comme toujours, depuis toute éternité. Forts de ce raisonnement, revenons à ici et maintenant s'il vous plaît: si on admet que les masques sont tombés (comment le nier?), le ki ne circule-t-il pas avec moins de fausseté? Moins de fausseté, donc plus d'harmonie? J'ose espérer!  :)

   Par voie de conséquence, admettons enfin qu'il n'y a aucun mal à tirer à boulets rouges sur les fausses certitudes de ses ancêtres comme de ses contemporains - comptants pour rien car comptants pour ki. Allons plus loin, il n'y a pas de mal à dire ses quatre vérités à son prochain, son semblable, mon autre moi-même, qui est mon propre ki…  Moralité: faisons des strikes dans les tas de ki! (dans le strict respect des deux piliers de la politesse sus cités, bien entendu).

     Il n'y a pas de mal à dire du mal de ses "tromperies".

"J'habite ma propre maison, je n'ai jamais imité personne en rien et je me ris de tout maître qui n'a su rire de lui-même", Frédéric Nietzsche (Le gai savoir).

 A votre service, bien à vous, votre semblable, un autre vous-même.

TchÖ!

 

 

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